Depuis le 03 juin, la Grâce surabonde à l’EEC, antenne de Champigny !

Voici la première bafouille de l’ère de Pure Grâce à l’EEC de Champigny ! Depuis le 03 juin date laquelle l’EEC de Champigny est en fête, presque deux semaines ont passé. Qu’importe le temps, car nous l’avions déjà à cœur cette volonté de reconnaissance.

Il est vrai, la Bergère le fait tous les jours. Mais il nous semble nécessaire, dans un esprit collectif, que l'esprit communautaire l’impose, que nous donnions le coup d’envoi de notre semaine de pure bonheur. C’est donc parti.

Mon premier réflexe était de récupérer Diane chez moi pour qu’elle entonne, du réveil au coucher, l’hymne de Grâce en l’honneur du Roi des Rois. Pour autant, je me suis tout de suite ravisé : sœur Agathe, par qui tout est arrivé, en a certainement besoin. Je connais, certes, sa générosité, l’avez vous remarqué ? Elle ne veut pas garder, à elle seule, sa consécration pastorale. Mais entend le partager avec toute la Communauté. Je saisis au vol cette opportunité et entend exulter tous les jours : Christ est Merveilleux, merveilleux… pour cela louons-le sans cesse car c’est le mois de la Grâce : elle surabonde, tel Christ lui-même, qui ne loupe pas un moment pour nous encourager, nous aimer, selon le cas. Chez moi, à Cergy, c’est également déclaré, dans le sillage de Champigny, « mois de la Grâce infinie » : nous chantons des cantiques d’allégresse, rappelant au Seigneur que nous n’avons aucun lieu voir aucune personne vers qui aller. Nous le répétons à tue-tête, car c’est à lui les paroles de la vie !!

Vivre, bon sang ! Pas à n’importe quel prix. Mais vivre à la hauteur de l’abnégation consentie par Jésus-Christ, sur La Croix de Golgotha ! Vous l’aurez cerné. Le tarif minimum syndical ! N’est-ce pas ? Ne répondez pas tous en chœur, sachant que des malins rôdent, cherchant qui égorger ou carrément tuer !

A ce propos, depuis l’annonce de la bonne nouvelle, je ne sais pas si vous avez remarqué, l’impur a repris du labeur. De la plus belle manière ! Sans crier gare, il s’invite là où les enfants de Dieu festoient, et entend perpétrer ses forfaits. Mais il a oublié que les bénédictions de Dieu arrivent là où ses rejetons se réunissent pour le célébrer. Moralité : le malin y sera à ses frais, qu’on se le dise ! Re-musique !

Pouvons-nous dire avec Jacques (4.7) ceci : « résistez donc au diable et il fuira loin de vous »! Arrivé à ce point, je m’arrête un instant. Et vous interpelle : comment faites-vous pour résister, au fait ! ? Moi, je me mets de suite à prier le Seigneur et à chanter des louanges ! Je suis convaincu que dans la panoplie des armes que le chrétien dispose dans son carquois, la prière réside en bonne place, à l'image du colt chez les westerns, prêt à l’emploi. Mes frères, profitons-en ! C’est « cadeau », dit la louange, n’est-ce pas Diane ? C’est le seul moment où l’abondance de bien ne nuit pas. C’est aussi le seul moment où vous me surprendrez en flagrant délit de prosélytisme! Oui, je vous inviterai à prier sans cesse. Car je n’oublie pas que cette exhortation vient du Seigneur lui-même ! Assurément, nous prétendons l'aimer ! Or qui l’aime garde sa parole et surtout, la met en pratique!

Le Saint-Esprit, qui surabonde à Champigny, n’a pas loupé l’Ancienne Irène Ndjouka, qui rappelle en ce jour fort à propos les paroles de Luc 19:1-10 relativement à Zachée. Quelle profession de foi : « Seigneur, je voudrais être comme Zachée », dit-elle ! Et pour cause, ce Zachée-là veut suivre Jésus assidûment ! Courage ma sœur, tu n’es pas seule. Dans la longue cohorte suivant soeur Agathe suivant à son tour Jésus, nul doute, il y a des noms que je (re)connais : des Jacky, des Evelyne, des Madeleine, des Emmanuel, des Serges, des Roland, des Éliane, des Frieda, des Beryl, des Agathinette, des Joukov, des Ma O, Ma Elise et j’en passe. Tout le monde est de la partie. Reste à Diane et à Vannelle de remonter le défi, car le bal de la consécration est lancé. Quel honneur de danser pour Jésus qui, à travers cette décision, a tenu à reconnaître l’engagement sans faille de notre Bergère. Bien sûr qu’il sait que nous exultons. Pour cette Grâce arrivée il y a deux semaines. Et qui vivra jusqu’à la consécration pastorale et pourquoi pas, au-delà, tant il est vrai, nous nous permettrons de rappeler un instant Salomon (Proverbes 10.22 que « les bénédictions de Dieu ne sont suivies d’aucun chagrin. » Musique à tous les étages !