La où Jésus règne, la force du diable vole aux éclats

Ceux qui sont habitués des louanges de Champigny se rappellent bien de celle qui nous indique que là où Jésus règne, la force du diable disparaît. « Il n’y en a plus, il n’y en a plus », martelons-nous régulièrement. Un crédo qui m’a renforcé, quand j’ai pris connaissance de la lettre pernicieuse que l’ennemi a pondu pour manifestement « dérober, égorger et détruire ». Nous sommes là, clairement face à des manœuvres diaboliques. Et les détails de la lettre renseignent sur le corbeau : « il est allé se nicher dans les détails des chiffres présentés un jour plus tôt à l’Assemblée Générale ». L’occasion de se rappeler que cet intrus de mauvais augure est comme un loup, dans la bergerie. Son objectif final : égorger. Comment ne pas se rappeler, non sans émotion, les mots de notre Sauveur qui nous rappelle dans Luc 22.21 que « voici, la main de celui qui me livre est avec moi à cette table. » Une idée qu’a reprise, teintée d’émotion, l’Ancienne Mamico, au moment d’aborder lapidairement cette péripétie : « le modus operandi laisse comprendre que le traître est parmi nous », a-t-elle lâché en substance. Puis l’a regretté vivement, tout en exhortant la Communauté à relativiser une attaque perpétrée comme par hasard au lendemain de l’Assemblée Générale. Tout porte à croire que le diable n’a pas supporté les bons chiffres dévoilés par la Communauté, dans un contexte pandémique marqué par deux confinements, synonymes de léthargie des fidèles. Et bien non, plus que jamais, le dynamisme des fidèles portés par l’espoir en Jésus, s’est montré plus que enthousiaste. C’est une véritable lame de fond soutenue par toute la communauté soudée derrière son Berger Agathe Kuissu Kamdem. Le chien aboie, la caravane passe Premier constat qui la grandit sans conteste : aucune riposte à ces manœuvres de basse facture ; un véritable tissu de mensonges et de calomnies, qui invite devant les tribunaux voire tout simplement à la lecture de la Parole. Elle décline le tribunal des Humains, et reste ouverte au pardon, si confession il y a, bien entendu. Mais moi je ne saurais oublier ce que promet Matthieu 26.24 : « Le Fils de l'homme s'en va, selon ce qui est écrit de lui. Mais malheur à l'homme par qui le Fils de l'homme est livré! Mieux vaudrait pour cet homme qu'il ne fût pas né ». Notons que la Communauté de Champigny sort grandie de cette épreuve, soudée derrière le conseil d’Anciens, les Anciennes et sa Bergère. Si elle pardonne, elle n’oublie rien et considère cette attaque comme un appel à la vigilance, un des derniers spasmes avant la mort ? Quoi qu’il en soit, la communauté se lève toute entière derrière sa Bergère. Pour mieux porter son avenir sur le terrain le plus gratifiant, celui de la (re)connaissance de Jésus : la Bible ne préconise-t-elle pas de « chercher avant tout le royaume et la justice des cieux, le reste vous sera donné par surcroît (Mat. 6.33). E.M.